L’analyse des résultats révèle que le comportement général de la communauté scientifique suisse et ses réticences à partager ses informations dans des bases de données publiques ne diffère guère de l’attitude adoptée par les autres communautés scientifiques réparties dans le monde entier. En ce qui concerne la quantité de données partagées, les résultats de l’enquête sont similaires à ceux d’études antérieures. Les initiatives lancées à l’échelon international en faveur de l’open science sont dès lors également applicables à la place scientifique suisse, pour laquelle il n’est pas indispensable d’élaborer des solutions nationales.
swissuniversities tient compte des résultats de cette étude dans le cadre du programme "OPEN Science", qui sera préparé pour la période 2021-2024.
Pour plus d’informations sur l’étude, ainsi que sur le rapport complet, veuillez consulter doi.org/10.5281/zenodo.2643460